Dubaï: une ville de contrastes
Nous aurons vus, de nos yeux vus, la « grandeur » de cette ville gagnant peu à peu sur le désert.
Nous sommes arrivés a Dubaï à 6h30, heure locale (4h30 heure française) le 31/08. La sortie de l’avion se fait sous une chape de chaleur, humide, étouffante (digne représentation du « chaud-mou ») et de la buée se forme instantanément sur les lunettes de Noémie et la lentille de la caméra: il fait déjà 32°C.
Après avoir déposé nos gros sacs en consigne, nous décidons de nous diriger vers la Burj Khalifa (tour de 822 m de haut) et le Dubaï Mall (centre commercial de 800 000 m2). Ce centre contient le grand aquarium de Dubaï et le plus grand écran numérique au monde. Comme vous l’aurez compris « le plus grand » et la démesure semblent être les mots d’ordre de cette partie de la ville qui semble en perpétuelle construction.
Après avoir marché plus d’une heure dans ces espaces quelques peu oppressants, nous décidons de reprendre le métro en direction de l’autre coeur de la ville et ses vieux souks. C’est alors qu’un détail, surprenant ?, attire notre regard. Il existe des rames de métro réservées aux femmes et aux enfants et séparées par une ligne de démarcation.
Après avoir quitté le métro, nous nous sommes déplacés à pieds dans de petites ruelles, en errant et nous perdant tranquillement.
Nous avons finalement rejoint les différents souks de la plus vieille ville (Gold souk, spices souk et old souk) dont l’échelle, plus humaine, nous a bien plus correspondu.
Ici, nous nous faisons aborder, a la chaine, par les nombreux commerçants: une habitude qu’il va nous falloir prendre rapidement. Nous déclinons gentillement leurs offres de montres et d’épices en tout genre (une impression de démarchage téléphonique) et continuons notre route à la recherche d’un endroit où manger. Nous nous sommes finalement retrouvés dans l’une des artère principale et nous sommes installés sur une terrasse, a l’ombre ! Il fait maintenant plus de 40°C et nous avons l’impression de fondre sur place (certains pourraient, sans prétention, placer la fameuse expression: « sale temps pour les bêtes grasses »). Le plus dure étant peut-être, finalement, la différence de température entre l’extérieur et l’intérieur: climatisation intense, que les portes soient fermées ou non pour conserver une température de 18°C.
Après ce repas bien mérité, nous nous sommes finalement dirigés vers le port pour y découvrir le chargement d’articles en tous genres sur des bateaux, autrefois utilisés pour la pêche des perles. Une pause devant les bateaux-taxis, pour un pommadage en règle de crème solaire, nous a valu les regards quelques peu moqueurs des locaux attendant la traversée.
Nous nous sommes finalement dirigés vers la plage indiquée sur notre carte en espérant pouvoir siroter un jus de fruit frais, les pieds dans les sable. Avec déception, nous y avons trouvé d’impressionnants buildings et hôtels, plus chics les uns que les autres (dont les sommets nous restaient invisibles du fait de la pollution) et peuplés, il semblerait, des touristes les plus riches de la Terre.
C’est sur cette dernière étape, éreintés par la chaleur et le manque de sommeil, que nous nous sommes replongés dans le froid climatisé du métro pour regagner l’aéroport.
Nous aurons vus, de nos yeux vus, la « grandeur » de cette ville gagnant peu à peu sur le désert.
Pauline et Yohann
Merci d’avoir partagé ce très bon reportage photos et vidéos sur votre découverte de Dubaï !
Bonne continuation dans votre voyage !
elkiki
Brrr cette ville fais chaud dans le dos 🙂
Bertrand
Salut Pierre,
Profitez bien de votre road trip ! C’est sympa de partager ces moments !
denis et m.noelle
Coucou les voyageurs ,
Merci pour ces photos, vidéos ,textes, super sympa de nous faire voyager avec vous ,
bon vent et a bientôt en images.
Elkiki
La suite la suite je brûle d impatience de vous lire